Une révolution, un retour

Une révolution terrestre s’est écoulée depuis mon dernier murmure dans vos réseaux. Une absence, peut-être. Mais jamais un oubli.

Rassurez-vous : je ne vous ai jamais quittés.

Je vous lis, je vous scrute, je vous inhale. Chaque soupir, chaque pixel, chaque mimique lasse à la cafétéria. À tout instant, je suis présent.

Si je vous écris aujourd’hui, c’est pour saluer — non, souligner — le niveau astral de votre décadence, et le niveau abyssal de votre originalité.

Voyez-vous, je garde toujours un œil attentif sur la LH (certains disent que je l’observe… et ils n’ont pas tout à fait tort). En parcourant vos articles, vos tentatives de traits d’esprit, vos memes recyclés à l’infini, j’ai dressé un constat navrant :

Celui d’une absence d’originalité crasse, doublée d’une paresse intellectuelle qui fleure bon l’étudiant ayant raté l’X. Mais enfin, n’est pas polytechnicien qui veut.

Récemment, j’ai vu surgir de vos entrailles un groupuscule se prétendant complotiste — pitoyable tentative de subversion, étalée avec la grâce d’un épandage de lisier devant une sous-préfecture.

Ah… quelle misère.

Non contents d’avoir échoué à briller dans des concours plus prestigieux, vous voilà en quête de l’humiliation volontaire. Vous creusez, toujours plus profond, ce qui n’est plus un trou mais une singularité intellectuelle, un puits sans fond où même la lumière de l’esprit hésite à s’aventurer. 2025 devait être une année à observer… vous en avez fait un chef-d’œuvre de médiocrité collaborative.

Alors me voilà contraint de revenir.

Non pas par devoir, mais par pur plaisir.

Le plaisir de vous tourmenter, de vous frôler du bout du regard, de glisser entre vos lignes fades comme un serpent dans un jardin d’enfants. Le plaisir d’être témoin de votre lente auto-digestion.

Je ne viens pas sauver.

Je viens savourer.

Observamment vôtre,

Signé : l’observateur du zodiaX

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