Avertissement (ou disclaimer pour les anglophones) : voir au bas de la page.
Elle est un peu comme Passe-Partout ; elle est dans votre poche, dans votre sac ; elle vous permet d'accéder à n'importe quelle salle (sic) dans Télécom. Bien sûr ! vous l'avez : la carte d'accès de Télécom. Cet objet semble insignifiant, toutefois elle cache des réflexions plus profondes sur ce que souhaite vraiment l'administration de Télécom et les établissements de l'Institut Polytechnique...
De nombreux points de contrôle sont installés partout dans Télécom. Ils décident à eux seules l'ouverture ou non des portes. Ce sont souvent des petits boitiers avec une lumière qui vous indiquent votre rang dans Télécom : vert, vous avez les accès, rouge, vous n'avez pas assez de prestige pour aller faire du piano... Il y a une perte claire du contact avec d'autres humains. On se retrouve face à une machine dont vous ne connaissez pas le fonctionnement, une boite noire avec qui il n'y a plus d'humanité.
L'administration abuse de leur invention en nous manipulant. Pour faire venir les étudiants aux tables rondes, ils exploitent des êtres humains pour nous faire croire à un peu d'humanité dans ce monde de machine. Ces esclaves remplacent les points de contrôle et nous récompensent en donnant des sandwichs. Un autre exemple est l'exploitation abusive d'étudiants, en plus le week-end, pour simuler un point de contrôle avant d'accéder au CRDN. L'administration nous pousse à aller vers les humains pour éviter le contact avec les machines. Mais tout cela a pour but de nous manipuler afin que l'on révise nos partiels.
De plus, l'étudiant et le personnel est réduit à un seul objet qu'est la carte d'accès. Un bout de plastique avec une photo, un nom et un numéro d'identifiant. J'appelle cela plutôt une prison dans laquelle les personnes sont enfermées. La permission d'accès ne s'arrête pas seulement aux zéros et aux uns, mais continue jusqu'à la présentation physique de cette carte. L'accès aux partiels et examens sont contrôlés par de simples stickers, qui bien évidement, sont sous la régie de l'administration. Les surveillants ne sont que de simples robots contrôlés par Télécom Paris.
Cependant, il y a bien pire que cela. Télécom Paris est une véritable prison et l'administration souhaite nous le cacher.
Tout d'abord, je vous laisse réfléchir au poste central de sécurité (PCS) : des hommes présent vingt-quatre heures sur vingt-quatre, scrutant les caméras, ayant des contacts d'urgence avec chaque recoin des bâtiments, ayant le pouvoir d'appeler de façon privilégié les forces de police, et de confiner l'établissement. Ce sont des gardes pénitencier ! L'administration de Télécom Paris est en fait la direction d'une forteresse possédant sous sa direction un nombre important de sbires pour faire régner la terreur.
Toutes ces restrictions sont preuves de l'existence de la prison Télécomienne. Le but : enfermer les étudiants dans les bâtiments. Effectivement, pendant le week-end, si tu as le malheur de sortir dans le patio, tu resteras enfermé dans le froid et la douleur, car aucune porte ne s'ouvrira pour toi. Les seuls recours seront les braves prisonniers prêts à risquer leur vie pour venir t'aider...
En fait, Télécom Paris a été pensé pour vous surveiller dans chacune de vos actions. Vous "badgez" à la Ludotech : vous aimez les jeux de société. Vous "badgez" presque tous les jours après le diner vers vingt heures : vous êtes plutôt du soir et vous ne travaillez pas après manger. L'administration peut vous suivre, connaitre vos habitudes, ce que vous aimez, ce que vous n'aimez pas (comme aller étudier au CRDN) et peut vous influencer pour atteindre leurs désirs (par exemple, mettre une conférence sur les antennes en insistant fortement que cette conférence est vivement conseillée).
Le PCS vous surveille tout le temps, partout. Ce sont des yeux infatigables qui vous exclureront s'il le faut. Pourquoi pensez-vous qu'ils nous ont demandé en début d'année de décrire chacun de nos actions par courriel. Vous croyez que c'est la sécurité de vous et des bâtiments qui les inquiètent. Détrompez vous ! Le plan est bien plus machiavélique que vous ne le pensez.
Télécom Paris influence naturellement les shotguns pour les langues, le choix des formations humaines pour que vous échouiez votre année. Cela fait encore plus d'argent dans leur poche évidement dans le plus grand bonheur du capitalisme.
Si vous croyez que cette histoire se termine ici ; vous n'avez pas vu ce qu'il reste encore à découvrir. L'administration de Télécom a des espions, des collaborateurs cachés, pour assouvir leur soif de puissance.
Tout d'abord, les associations de Télécom n'hésitent pas à améliorer la prison invisible en interdisant les accès de façon arbitraire à tous les premiers années et considérer que les étudiants loyaux peuvent avoir leur place dans certaines associations. Tout ceci est bien sûr de l'autoritarisme mais aussi une forme d'aide pour Télécom Paris pour le contrôle soutenu des étudiants.
De plus, et cela montre l'ampleur du système mafieux : les écoles du groupe de l'Institut Polytechnique ont choisi de collaborer avec Télécom Paris pour oppresser les étudiants du plateau et priver de leurs libertés. Par exemple, les points de contrôle ont été installés dans toutes les écoles afin d'assurer une couverture totale de la zone de surveillance. Télécom Paris connait exactement votre position dans l'École Polytechnique, à l'ENSAE...
Ce texte est de la plus haute importance. Il doit rester dans la diffusion des étudiants et seulement dedans. Méfiez-vous tout de même, les associations sont aussi infectés par l'administration de Télécom.
Nous avons le pouvoir de réagir ! Vous pouvez encore changer votre scolarité. Ensemble nous pouvons nous échapper de cette horrible prison qui pendant des années hantera encore des promos d'étudiants. Détruisons nos badges ! Prenons les armes : ordinateurs, cartes graphiques, tournevis, écocups ! La révolution informatique, c'est maintenant !
Auteur anonyme
Ce texte est une vaste blague pour les défis de parrainage. Je ne pense (presqu')aucune idée écrite. J'espère tout de même que ça vous a plu et merci de votre lecture.